Deuxième série, due à Jean-Michel Charlier, décrivant des aventures dans la forêt vierge, avec un personnage de chasseur professionnel. La série se situe désormais en Amazonie, et non plus en Afrique noire (où se déroulait la première série, Tiger Joe). Le dessinateur est Gérald Forton, pour le magazine Spirou entre décembre 1953 et juin 1956. Quatre albums ont été imprimés à l'époque, mais jamais réédités.
|
Un extrait de la planche 22 de l’album La Cité perdue où, fait rarissime à l’époque, le nom du scénariste est inscrit (dans le coin en haut à droite), même s’il est presque indéchiffrable
|
|
Ci-contre : la couverture de l’album Le Peuple en dehors du temps, par Gérald Forton.
Ci-dessous : premières vignettes de l’histoire.
|
| Le monde disparu est un album à part dans la série Kim Devil, en ce sens que ses planches sont composées de trois bandes et non quatre comme la plupart des histoires de JMC.
|
Un extrait du Fauve inconnu, dans le supplément de spirou, Risque-Tout, en date du 29 décembre 1955 (et présenté ici en Noir et blanc).
|
Premières vignettes de l’histoire complète L’Or du Rio Sacramento, à la Une de Risque-Tout du 26 janvier 1956 (l’histoire a paru en couleur).
|
Kim Devil, en expédition dans la forêt vierge, découvre une pirogue allant à vau-l'eau, au fond de laquelle gît un Indien ligoté et affamé. L'homme raconte que, victime d'un sacrifice humain auquel il a réchappé, il vient d'une contrée lointaine où jamais les Blancs n'ont mis les pieds. Mais il porte avec lui un étrange fétiche : une magnéto de moteur... Et il parle d'un mystérieux Dieu blanc. Enquête faite, ce type de magnéto n'existe plus depuis 25 ans. Intrigués, Kim et ses amis partent en direction de la région dont l'Indien est originaire...
|
Extrait de la planche 11 de l’album Le Mystère du Dieu blanc.
|
Ci-dessus, le début de la planche 35, en couleur, du Mystère du Dieu blanc, tel qu’il a paru dans l’album. Ci-dessous, les deux premiers strips de la même planche, mais en Noir et blanc dans Spirou du 10 mai 1956, avec un résumé à la place de la première vignette (on note que le nom du scénariste manque, comme souvent à cette époque).
|
|
|